OGM Les semenciers et les filières spécialisées évoquent l'argument de la compétitivité
« Refuser les OGM, c'est mettre à mal la compétitivité de l'agriculture française ». Tel a été le credo des professionnels des filières agricoles invités à s'exprimer le 19 janvier devant la mission d'information parlementaire sur les organismes génétiquement modifiés.
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Étaient présents : les semenciers (CFS et Gnis), les industriels des phytosanitaires (Uipp), les coopératives (Coop de France), deux groupes agrochimiques (Monsanto Agriculture France, Pioneer/DuPont), l'institut technique de la betterave industrielle, et les producteurs de maïs (Agpm), d'oléagineux et de protéagineux (Fop).
Les partisans des plantes transgéniques ont également estimé que refuser l'implantation des OGM en France, revenait à priver les agriculteurs d'une liberté de choix dans leur mode de production agricole. Par ailleurs, les Verts français ont déclaré le même jour qu'ils continueront en 2005 à procéder à des destructions d'essais OGM, tout en n'excluant pas de faire des propositions pour définir un régime de responsabilité sur la coexistence des cultures OGM et non-OGM.
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